Le Réseau des Amis de Bema Fofana poursuit ses dons de Ramadan à Bouaké : Un message de solidarité et de paix

Le lundi 17 mars 2025, le Réseau des Amis de Bema Fofana a lancé la troisième étape de ses dons de vivres à l’occasion du mois de Ramadan. Cette initiative solidaire a touché quatre mosquées de la ville de Bouaké, à savoir la mosquée Air France, la mosquée Broukro, la mosquée du Commerce, et la mosquée N’gattakro. Le message véhiculé lors de chaque étape de cette tournée a été clair : demander la bénédiction des femmes bénéficiaires et exprimer la gratitude du réseau pour leur loyauté.

Au nom du président fondateur Bema Fofana, le président du Réseau a souligné l’importance de ce geste, précisant que “ce n’est pas seulement le sucre qu’on leur donne, mais le fait de se déplacer vers elles, de leur offrir des cadeaux et de leur apporter notre soutien.” Il a exprimé sa satisfaction de voir l’enthousiasme des bénéficiaires, notamment les femmes, qui ont accueilli ces dons avec ferveur et joie.

Les femmes, ravies par ce geste de solidarité, ont exprimé leur reconnaissance. “Nous sommes très contentes d’avoir reçu ce don. Que le Seigneur bénisse le responsable et qu’il lui accorde une longue vie et une bonne santé”, ont-elles affirmé, en priant pour la réussite des projets de Bema Fofana et pour la paix dans le pays, notamment lors des prochaines élections.

Le président du Réseau a également invité les femmes à rester solidaires et à encourager d’autres associations dans les quartiers à rejoindre le réseau. “Notre souhait est de voir ce réseau grandir, pour qu’il puisse apporter encore plus de bénédictions pour Bouaké, le pays, le nord de Mapufana, et pour nous tous”, a-t-il conclu.

Cette action de solidarité renforce les liens de fraternité et de paix au sein de la communauté, tout en rappelant l’importance de l’unité et du soutien mutuel, particulièrement pendant cette période bénie du Ramadan. Le Réseau des Amis de Bema Fofana continue ainsi son engagement en faveur du bien-être des populations de Bouaké.

Par Adam Taleeb

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