LES 100 PREMIERS JOURS DU MAIRE AMADOU KONÉ A LA MAIRIE DE BOUAKÉ

Cent (100) jours déjà que le ministre Amadou Kone assume les responsabilités de la commune de Bouaké. Dès sa prise de fonction, Amadou Koné a immédiatement montré un engagement fort pour l’assainissement, en organisant des séances de grand ménage dans les 7 arrondissements de la ville, tout en les équipant de 15 tricycles et 10 débroussailleuse à l’effet de rendre la ville plus propre et attrayante en prélude à la Coupe d’Afrique des Nations.

Amadou Koné a fait également le domaine de l’infrastructure sa priorité en réhabilitant la mairie de Bouaké, en construisant la clôture de l’harmatant et de la gare routière, en construisant la clôture de plusieurs écoles primaires et collèges de la ville, le reprofilage de plus de 50km de la voirie non sans oublier l’installation des feux tricolores.

Des actions appréciées au plus haut sommet de l’état par le premier ministre Beugre Mambé. “Bouaké se structure et nous ne pouvons qu’encourager le ministre Amadou Koné pour le dynamisme qu’il affiche dans la gestion de la ville” a dit le premier ministre ivoirien lors d’une visite à Bouaké.

Concernant l’embellissement de la ville le maire élu a la municipalité a multiplié ses actions en aménageant les plots lumineux sur les principaux axes routiers, la construction d’un jet d’eau gigantesque avec rideau sonorisé, le ravalement des façades principales et édifices religieuses et la grande pancarte, j’aime Bouaké au rond-point de l’habitat de la caisse.

Des œuvres appréciées par les populations de Bouaké. “Vraiment je trouve que le maire fait un très bon travail que nous apprécions, pour la suite nous attendons l’ouverture des usines, nous voulons travailler à Bouaké ” affirma Estelle Yao étudiante en fin de cycle à l’université Alassane Ouattara de Bouaké.

Au titre des actions sociales, Amadou Kone a offert plus de 3600 kits au deux DRENA, effectué la prise en charge des grands malades et des femmes démunies et a doté la pouponnière d’un mini car pour faciliter leur déplacement.

Par Adam Taleeb

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