
La troisième journée de la 5e conférence des imams s’est distinguée par son caractère particulier, étant dédiée à un symposium composé de quatre panels. L’accès à la salle de conférence était ouvert aux invités externes, qui se sont déplacés en nombre pour assister à cet événement scientifique de grande envergure. Les sujets abordés étaient d’une importance capitale, et les intervenants de haute qualité ont assuré un décryptage approfondi des thèmes traités.
Les quatre panels de la journée ont couvert des sujets variés mais essentiels pour la société actuelle :
- “La famille musulmane à l’ère des écrans et des objets connectés”, modéré par le Dr Keita Karounga, enseignant chercheur.
- “L’éducation : une action participative et une responsabilité collective”, modéré par le Dr Doukouré Massiré, professeur à l’Université de Bondoukou.
- “Rôle des guides religieux face aux défis sécuritaires en Afrique”, modéré par la délégation du Burkina Faso.
- “La contribution des institutions religieuses dans la consolidation de la cohésion sociale et de la paix”, modéré par le Professeur Yaya Karamoko, vice-président de l’Université d’Abobo-Adjamé.
Ces panels ont permis aux éminents panélistes de livrer des analyses détaillées et pertinentes sur des sujets d’actualité touchant à la famille, à l’éducation, à la sécurité en Afrique, ainsi qu’à la paix et la cohésion sociale.
La journée s’est terminée autour de 00h30 par la lecture du rapport général de la conférence, suivie de l’adoption des différentes motions. Ces conclusions ont marqué la fin de cette journée instructive, en attendant la cérémonie officielle de clôture prévue pour ce dimanche à la patinoire du Sofitel.
Par Adam Taleeb